8 Siècles d’histoire

Choisissant un lieu élevé, ils s’installent près du ruisseau Lagarrigue et construisent un vaste bâtiment, l’un des plus importants de Montauban.

Ouverture de la galerie d’art du Fort

Réaménagement du cloître en espace d’animation ouvert sur la ville

Fin de Relais Emploi

La résidence rajoute l’activité « auberge de jeunesse »  à ses activités d’accueil et d’habitat

Jusqu’à fin 2003 l’ensemble du bâtiment est réhabilité. La propriété du site est concédée pour 35 ans à l’office départemental HLM, maître d’ouvrage des travaux, dans le cadre d’un bail emphytéotique.

Lancement de « Relais Emploi », service d’aide à la recherche d’emploi

En raison de la création de nouveaux services l’association change de nom et devient l’Espace Accueil du Fort.

Ouverture de l’Etablissement d’Hébergement pour Personnes Agées (EHPA) dans les locaux du foyer. Le Fort est désormais une résidence intergénérationnelle.

La gestion du foyer de jeunes travailleuses assurée jusqu’alors par la Congrégation de la Miséricorde est confiée à une association loi 1901, l’association « Foyer des Jeunes Travailleurs ». 80 lits sont ouverts aux résidents.

Création d’un foyer de jeunes filles à la demande de la ville de Montauban.

Madame Genyer de Moissac achète le bâtiment et y installe les Sœurs de la Miséricorde. Elles fondent au Fort une école et une maison d’enfants.

Lors de la révolution, les moines doivent à nouveau abandonner le couvent.

Les Dominicains reconstruisent un nouveau couvent pour 80 religieux toujours debout aujourd’hui.

Le fort résiste aux 400 coups de canon ! Mais 8 ans après, Richelieu entrant dans Montauban fait tout raser.

Le couvent est pillé par les protestants puis démoli en partie et transformé en fort (d’où le nom de la rue).

Les dominicains qu’on appelle aussi Jacobins ou Frères prêcheurs arrivent de Cahors pour s’installer à Montauban vers 1251. Ils construisent leur couvent entre le Tarn et le Tescou mais 20 ans après, la première inondation connue du Tarn emporte tout !